Introduction

Pourquoi une littérature et un art pendant et après l'univers concentrationnaire ?

 

            Nous ne pouvons rester de glace à ce que fût la déportation. C'est pourquoi, à travers l'art et la littérature, des hommes déportés ou artistes ont témoigné afin de nous montrer que la haine n'a conduit qu'à la destruction et n'a servit à rien et afin de perpétuer la mémoire du génocide.

Les déportés qui ont écrit ou dessiné pendant les camps de la mort dans d'inhumaines conditions, l'on fait afin que subsiste leur dignité, pour ne pas sombrer dans le néant et devenir un corps dénué de pensées. Cela leur a aussi permit de se libérer intérieurement  et d'extérioriser leurs souffrances. Beaucoup d'Hommes sont morts en déportation, leurs témoignages leur a permis de montrer qu'ils avaient existés, et aussi de ce détacher un peu de la masse anonyme de tous les morts des camps de concentration.

Certains des déportés rescapés ont témoignés après leur libération, ils l'on fait car ils ne pouvaient vivre avec toutes ses horreurs gravées en eux, ils fallaient qu'ils nous transmettent leurs expériences, qu'ils laisse au monde une trace de ce qui constitue un crime contre la personne humaine : la déportation.

Mais je vais laisser parler Primo Levi, lui a vécu l'horreur de la déportation : "Le besoin de raconter aux autres, de faire participer les autres, avaient acquis chez nous, avant comme après notre libération, la violence d'une impulsion immédiate, aussi impérieuse que les autres besoins élémentaires; c'est pour répondre à un tel besoin que j'ai écrit mon livre; c'est avant tout en vue d'une libération intérieure."

(Primo Levi, résistant juif, déporté à Auschwitz, Si c'est un homme,1947).

 

 

 

Déportés du camps de Dachau

 

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La littérature pendant et après l'univers concentrationnaire